dimanche 30 janvier 2011

En hiver, pas d'hibernation

En hiver, la créativité ne s'arrête pas et le concours Miss / Mister Hairdresser on Facebook entre dans une nouvelle saison.
A peine commencé, tout démarre au quart de tour. Déjà 6 photos proposées dont une avec 97 votes à ce jour!!!

coiffure: Frédéric Pauc


Comme un rappel n'est jamais de trop:

-pour participer, il suffit de déposer une photo professionnelle sur le groupe du concours. Les images sont demandées de qualité telles que celles que l'on voit dans les vitrine des salons de coiffure. On évitera la photo prise avec le téléphone ou le mini appareil au milieu du salon de coiffure sur la nouvelle tête de la boulangère d'à côté (quoique je n'ai rien contre les boulangères...)

-pour voter, juste un clic sur "j'aime" sous la ou les photos préférées. Encouragez votre coiffeur préféré. Faites lui de la pub!!!

mardi 25 janvier 2011

Cindarella se préoccupe des TMS... et de la planète

Lu sur Echos Coiffure n°33:



Cindarella se préoccupe des TMS...

L'enseigne de mobilier lance la ligne Cocoon, dessinée par Design Pool-Vitrac, et développée autour de la prévention. "Le premier bac en accord avec votre corps", un slogan qui entre pile poil dans la vague ergonomique qui déferle sur le mobilier. Dédiés à la prévention des TMS, troubles musculo-squelettiques (douleurs à la colonne vertébrale, au rachis et aux membres supérieurs), les bacs Cocoon apportent un confort de travail optimal avec une colonne de lavage mobile par pression d'un bouton (rétro éclairé).



...et de la planète

Cindarella sort également la première ligne de mobilier écologique, baptisée Biovision. Une gamme écoresponsable et recyclable composée de fauteuil, bac de lavage et coiffeuse fabriqués à partir de bois certifié PEFC (gestion durable des forêts), de mousse à base de soja, de tissu à 80% issu de matières naturelles. La ligne est disponible dans quatre coloris (Lemon, Lemon fil, Cyclamet Buffalo), et un ton bois (bois clair vernis). "La ligne écologique, explique Vanessa Ghorayeb, directrice générale de Cindarella, est au même prix que la ligne moyen de gamme. Aujourd'hui, un bac à shampooing écologique ne coûte pas beaucoup plus cher qu'un bac à shampooing plus classique."

lundi 24 janvier 2011

Mais qui est Sarah Guetta?

Lu sur Echos Coiffure n°33:


D'où vient ce petit bout de femme au tempérament de feu, membre du jury de L'Espoir de l'année sur M6 en novembre dernier? Peu connue de la profession, celle que l'on appelle "la coiffeuse de Patrick Bruel" sort enfin de l'ombre. Surprise: son CV est digne des plus beaux carnets mondains et affiche des références impressionnantes.
Rencontre avec Sarah Guetta, coiffeuse passionnée et passionnante.



Comment devient-on coiffeuse pour la télévision et le cinéma ?
En rendant service à la femme de Claude Zidi, à la fois amie et cliente à l’époque où je travaillais pour Maniatis. Je devais coiffer durant quarante-huit heures pour le film Pédale douce avec Richard Berry et Fanny Ardant. Finalement je suis restée durant tout le tournage. Très vite je m’y suis sentie comme chez moi, aussi bien sur le plateau qu’à la cantine. J’avais l’impression d’avoir toujours fait ça.

Qu’est-ce qui a fait votre succès ?
En 1995, au cinéma, on avait interdiction de couper les cheveux, on ne faisait que coiffer. Beaucoup trop même. Moi, je suis venue avec mes ciseaux et j’ai apporté des coupes toutes fraîches. Puis j’ai fait La Vie rêvée des anges, où mes coupes vraies et justes ont été particulièrement remarquées. Nicole Garcia a fait appel à moi et j’ai ainsi enchaîné films et pièces de théâtre.

Où avez-vous appris la coiffure ?
J’ai commencé chez Carita. Maria était encore vivante. C’était la grande époque. Il fallait être impeccable. On arrivait une demi-heure à l’ avance, on vous maquillait, on vous coiffait et on vous enfilait une blouse blanche. Et on rentrait dans un personnage. J’étais l’assistante de Christophe Carita : je mettais les épingles, préparais la matière (cheveu), apportais sur un plateau ses ciseaux en or. La plupart du temps, le séchoir coincé entre les jambes et les épingles sur les bras, j’étais un vrai plateau ambulant. Il fallait être partout,
efficace, et en même temps apprendre en regardant.

C’est là que vous avez rencontré vos premières stars ?
Je découvrais Barbara, Catherine Deneuve dont la chevelure impressionnante ne passait pas sous le casque. Je copinais avec Farah Diba, la reine d’Iran qui arrivait en hélicoptère sur le toit de chez Carita. Je partais avec Christophe dans les plus grands hôtels coiffer Jacques Chazot, la baronne de Rothschild ; j’étais sa coqueluche.

Que vous a enseigné Christophe Carita ?
Le neveu des sœurs Carita, toujours très élégant, réalisait un chignon banane en sept secondes ; c’était magique. Il avait une grande personnalité et un regard exceptionnel. Chez Carita, j’ai appris le « solfège », les bases classiques. On savait réaliser des crans fabuleux en dix minutes. La coiffure est avant tout un travail de la matière. Aujourd’hui encore, j’ai gardé ce rapport à la matière, j’ai besoin de la sentir, la main sur le crâne. À la mort de Christophe, je me suis sentie triste et abandonnée.

Et auprès de Maniatis, qu’avez-vous appris ?
Jean-Marc est un grand séducteur. Dans les années 70, il a inventé les lignes de coupe. Jean-Marc, c’était la coupe à sec, un coup de ciseaux et un effilage extraordinaires. La pub Dim, c’était lui, une référence à l’époque. Je suivais Jean-Marc sur les défilés. Je lui ai apporté ma spécialisation en chignons de mariées. Le samedi, rue de Sèvres, je réalisais de véritables sculptures, des pièces montées. En contrepartie, j’apprenais la coupe.

Là-bas, vous avez aussi fait des rencontres.
Je coiffais déjà les gens du showbiz, comme Marc Lavoine. Puis Jean-Marc Maniatis m’a appelé pour coiffer telle ou telle personnalité. Et le bouche à oreille a bien fonctionné. Ça m’a éclaté de sortir du salon et de jouer un rôle, de me créer un personnage. On connaît la vie de tout le monde, on rentre dans l’histoire des gens célèbres…

La coiffure était-elle pour vous une vocation ?
Mes parents étaient forains. J’ai passé mon enfance à vendre des bonbons. J’adorais les marchés, le contact avec les gens. Mais je n’aimais pas la coiffure. Au lycée Élisa Lemonnier, je m’intéressais davantage à la cuisine et à la photo. Puis est arrivé un grand malheur : ma soeur qui était coiffeuse est décédée à 18 ans, et ma mère a alors voulu que je reprenne le métier. Maman m’a ainsi permis de découvrir un talent que j’avais en moi. J’avais des notes fabuleuses, sans travailler. C’est certainement ma soeur qui m’a envoyé son don.

Quels conseils donneriez-vous à un jeune coiffeur qui rêve de travailler pour le cinéma ?
Il faut croire en soi. C’est la volonté qui fait le pouvoir, pas le contraire. Il faut croire à sa chance, à son destin. On a tous une étoile. John Nollet (coiffeur studio) est arrivé après moi dans la profession, il a vite fait du business, il s’est placé et a été reconnu tout de suite. Malheureusement, il n’y a pas d’école pour apprendre à coiffer pour le cinéma ou le théâtre. C’est particulier. Personne ne m’a appris à lire un scénario ou à faire des raccords. Il faut essayer de faire des stages. Je travaille ainsi avec trois ou quatre assistants que je forme.

Aujourd’hui vous ouvrez votre atelier de coiffure. Pourquoi ?
Je n’étais jamais chez moi. Je partais régulièrement pour des tournages qui duraient plusieurs mois. Je suis partie quatre mois dans le désert pour Le Boulet, quatre mois au Portugal pour Quasimodo. Je n’avais pas de vie privée. Et j’ai adoré ça. Jusqu’à ce que je rencontre mon mari sur un tournage, à Paris.
Maintenant, j’ai envie de poser mes valises. C’est pourquoi j’ai créé cet atelier à Paris, où je reçois les gens chez moi pour les coiffer en privé.

7’Hair, votre atelier, est-il réservé aux beautiful people ?
Dans une heure, je coiffe Richard Berry et dans deux heures, ma boulangère. Et je vais m’en occuper avec autant de bonheur que d’attention. Beaucoup de monde aujourd’hui a envie d’intimité. J’ai voulu faire un lieu où la personne est reine. C’est notre métier que d’être au service des gens.

PH pro

Aujourd'hui, la cultissime marque de shampooing pour homme, Pétrol Hahn, revient en salon de coiffure avec PH pro.

La gamme comprend 10 produits d'expertise professionnelle avec shampooings, sérum, lotion pour préparer la chevelure ainsi que spray, gel et crème pour le coiffage.

vendredi 21 janvier 2011

Crépons-nous le chignon pour les épousailles







L'Oréal est multiple

Le 1° groupe mondial de cosmétique possède 23 marques internationales (qui réalisent chacune un chiffre d’affaires supérieur à 50 millions d’euros). L'Oréal détient également 50 % de Galderma, plus grand laboratoire dermatologique mondial.

Produits grand public:
- L'Oréal Paris
- Garnier
- Gemey Maybelline
- SoftSheen-Carson
- Le Club des Créateurs de Beauté

Produits professionnels (la partie qui nous intéresse):
- L'Oréal professionnel
- Redken
- Kérastase
- Matrix
- Pureology
- Shu Uemura art of hair
- Mizani
- Kéraskin esthetics

Produits de luxe:
- Lancôme
- Giorgio Armani 
- Yves Saint Laurent
- Biotherm
- Ralph Lauren
- Kiehls
- Shu Uemura
- Helena Rubinstein
- Cacharel
- Diesel
- Victor & Rolf
- Roger & Gallet
- Boucheron
- Yue-Sai
- Stella McCartney


Cosmétique active:
- Vichy
- La Roche-Posay
- Innéov
- Skin Ceuticals
- Sanoflore


- The Body Shop

En 2009, L’Oréal comptait 64 643 collaborateurs, dont 1 570 au sein de Galderma, 8 484 pour The Body Shop et 2 732 pour Yves Saint-Laurent Beauté. Dans l'année, le groupe a déposé 674 brevets grâce à ses 3313 collaborateurs au sein de la Recherche Avancée L'Oréal.

jeudi 20 janvier 2011

La coiffeuse déprimée

Anne Roumanoff campe une coiffeuse en pleine déprime. Elle nous raconte son quotidien et ses vains essais pour se remonter le moral.

Les leçons blondes

Un blog tout en légèreté et illustré de plein de dessins de LA blonde.

Les Leçons Blondes parle de tout et surtout de rien mais occupe bien le temps de celui qui le lit comme de celle qui l'écrit...

http://les-lecons-blondes.blogspot.com/

Hair liner by Chanel

Pour le défilé Chanel, Karl Lagerfeld a demandé au maquilleur Peter Philips, un "hair-liner".  Ce dernier ne se l'est pas fait dire deux fois et à tracé toutes les raies des coiffures aplaties avec un trait noir. L'effet en est très surprenant autant par la simplicité que par l'audace.
L'été prochain, peut-être que chacune et chacun ira de son hair-liner de couleur ou d'épaisseur différentes....

Le lissage brésilien sur la sellette

Lu dans L'Eclaireur n°529:


Des rumeurs couraient depuis quelques mois concernant une interdiction imminente des lissages brésiliens... Rien de tel en réalité, mais un sérieux rappel de la part de l'AFSSAPS, de normes parfois non respectées.


Au cours des prochains mois, le marché naissant du lissage à la kératine (dit brésilien) devrait connaitre sa première grosse évolution, non pas technique mais règlementaire! Le ton a été donné récemment avec l'émission d'un communiqué de l'AFSSAPS (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé): quelques références de produits à la kératine ont en effet du mal à respecter la réglementation concernant leur teneur en formaldéhyde libre (sensibilisant et allergisant avéré, cancérigène possible). La limite maximale autorisée pour cette substance est de 0.2%: or, dans certains pays (notamment l'Irlande, les États-Unis et le Canada), on a relevé dans une trentaine de produits des teneurs 5 à ...50 fois supérieures! En France, moins touchée par ce problème, des teneurs en formaldéhyde de 0.61% à 5.87% ont néanmoins été détectées dans 8 produits. Courant décembre, ceux-ci* ont été retirés du marché par leurs fabricants ou distributeurs. Mais l'AFSSAPS garde désormais un œil sur la question, tandis que la DGCCRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes) a procédé à la saisie des produits encore commercialisés. En outre, ces deux organismes ont mis en garde les consommateurs contre l'achat de produits interdits sur internet, d'autant que les plus dangereux ont été distribués sur le marché nord-américain, et sont donc disponibles sur le web.
photo: Laurent Micas
Au final, l'application de produits de lissage ailleurs que chez des professionnels est déconseillée. Et ceux-ci doivent disposer pour leur part d'un système d'aération adapté afin d'évacuer le formaldéhyde et le méthylène glycol dégagés lors du passage du fer à lisser sur les cheveux. Il est enfin rappelé que les emballages des produits de lissage qui contiennent 0.05% à 0.2% du composé incriminé doivent porter la mention "contient du formaldéhyde", et que les notices doivent être rédigées en français.

En définitive, aucune interdiction des techniques de lissage brésilien dans leur globalité, ni même d'une ou plusieurs marques, n'est prévue, mais les distributeurs et les professionnels sont tenus d'opérer un meilleur contrôle.


*liste réactualisable sur afssaps.fr.

+1.6%

Tout augmente. Les salaires aussi. Heureusement!!!

Le 15 Décembre 2009 le Ministre du Travail, Xavier Bertrand a annoncé une revalorisation du SMIC de 1,6% au 1er janvier 2011.

Le SMIC mensuel, applicable depuis le 1° janvier 2011, est alors de 1.365,00 € sur la base de la durée légale de 35 heures hebdomadaires (151h67 mensuelles).

mercredi 19 janvier 2011

Gare aux produits chimiques!

Lu sur Biblond n°17:



Institutions de la Coiffure
Asthme, eczéma, troubles respiratoires, allergies,... Les coiffeurs sont particulièrement exposés à ces maladies du fait de l’utilisation de produits chimiques. Des mesures de précautions s’imposent et doivent être généralisées.

L’exposition aux produits chimiques, c’est le côté obscur du métier de coiffeur… Les maladies respiratoires et cutanées progressent dans le métier. D’après une étude datant de 2000, près de 3 % des chefs d’entreprise ont cessé la coiffure pour cause d’invalidité liée aux allergies respiratoires. Ces maladies professionnelles sont graves et peuvent coûter très cher. Elles peuvent pourtant être évitées grâce à des mesures de prévention simples.

Si le shampooing paraît inoffensif, sa pratique répétitive peut entraîner des réactions cutanées. Les apprentis sont particulièrement exposés. Il faut varier les tâches de chacun des employés, se laver les mains avec du savon surgras ou neutre, porter des gants si les mains sont abîmées (gants en latex naturel chloriné ou en nitrile) et appliquer des crèmes protectrices avant le poste, et régénératrices après.

Les poudres de décoloration sont une des causes les plus fréquentes d’asthme. Il faut éviter les produits volatils, qui restent en suspension dans le salon, et mettre en place un système d’aspiration localisée pour le poste de coloration : cela permet d’extraire les polluants le plus rapidement possible. N’utilisez surtout pas le balai ou le sèche-cheveux pour nettoyer un poste : cela ne fait que remettre dans l’air les particules polluantes ! Aérez le salon au maximum.

Portez des gants lors de l’application d’une décoloration ou d’une coloration, mais aussi pour la préparation, le rinçage et le nettoyage du matériel.

La permanente n’est pas sans risque. Les produits utilisés peuvent entraîner des eczémas et des irritations respiratoires ou cutanées. Favorisez les techniques limitant le contact des produits avec la peau. Portez des gants tout au long du processus. Isolez le linge utilisé lors de la permanente et évitez le port de bijoux.

Le salon Ere Création, à Lyon, montre l’exemple
Dans ce salon lyonnais, on ne lésine pas sur la santé des employés. En début de service, ils enlèvent leurs bijoux et s’appliquent une crème protectrice pour les mains. « Nous avons choisi une crème médicale spécialisée », souligne Ève Charmont, responsable administrative. Une affichette rappelle également que le port des gants est obligatoire. Ere Création a choisi des gants Matador, assez fins et montant jusqu’au coude. Dans le local technique, une ventilation avec charbons actifs est en cours d’installation. « Ce système captera très rapidement toutes les émanations des préparations techniques », explique Ève Charmont. L’équipe a vite adopté ces bonnes pratiques et ne s’en porte que mieux !


Pdf pour plus d'informations sur l'hygiène et la sécurité dans la coiffure

mardi 18 janvier 2011

Icrah 2011 - International Congress Research Against Hair loss

ICRAH 2011



Dans la lutte contre la chute des cheveux, il existe divers traitements, divers médicaments et de nombreux antichutes naturels.
De même dans la correction de la calvitie, il existe divers spécialistes médicaux ou non médicaux qui proposent tous des solutions efficaces et satisfaisantes, telles que les greffes de cheveux ou les compléments capillaires.
Parmi les compléments capillaires, certains sont aujourd’hui totalement insoupçonnables et adoptés par des millions d’hommes et de femmes dans le monde et avec les dernières techniques de greffes de cheveux, les résultats sont eux aussi remarquables de naturel sur le plan esthétique.

Le seul problème qui existe, c’est que les Laboratoires qui fabriquent les médicaments ignorent totalement ceux qui mettent au point les antichutes naturels. De même, les chirurgiens qui pratiquent les greffes de cheveux ignorent superbement les experts du complément de cheveux et des cheveux de contact.
En résumé les médecins ne fréquentent que les congrès médicaux et les autres spécialistes se regroupent dans leurs congrès.

Pour la première fois au monde, un grand Congrès International va réunir en France, dans un lieu prestigieux, des spécialistes de toutes disciplines, médicales et non médicales, chercheurs, chirurgiens et experts capillaires, pour faire le point sur l’efficacité réelle de tous les traitements antichute, et de toutes les techniques de correction de la calvitie.


Nous ferons également le point sur le clonage et la culture de cheveux in vitro. Nous terminerons par les cliniques du futur où tout sera réuni pour vaincre définitivement la chute des cheveux et la calvitie…

Avec ou sans cheveux, c’est une question de goût ! Mais chacun aujourd’hui doit pouvoir choisir son look en toute liberté, sans que son choix lui soit imposé par une déficience capillaire jugée à tord comme irréversible.

Gil Mennetrey,
Président du 4ème Congrès Mondial des Recherches et Solutions Contre la Chute des Cheveux
et la correction de la calvitie

dimanche 9 janvier 2011

Et toi, tu veux faire quel métier après tes études de coiffure?

Il y a quelques temps, en soirée avec des étudiants, nous discutions des facultés, BTS et autres formations spécifiques. Et soudain une question m'a marqué:
"Que comptes-tu faire après?"

Une question très simple, qui n'a rien de choquant.
Et pourtant, une question que je n'ai jamais entendu pour une personnes qui est dans sa formation en coiffure. Ni de mon entourage, ni de mes collègues qui m'ont formé, ni de mes enseignants au CFA.

N'y a-t-il qu'une seule voie possible en coiffure?
N'y a-t-il qu'un seul métier en coiffure?

Aujourd'hui, après 17 ans de pratique, je peux dire que NON! Des choix sont possibles.
La formation en coiffure peut nous amener principalement à travailler dans un salon de coiffure mais aussi dans d'autres structures.

En commençant par le salon de coiffure, il y a déjà différents métiers tels que technicien ou coupeur. Ces deux emplois sont complémentaires. Le coupeur et le technicien travaillent sur la même clientèle en salon afin de l'embellir. L'un se servant de ciseaux et de brosses, l'autre utilisant des pinceaux.
Ce sont donc bien deux activités très différentes. Ce qui n'empêche pas qu'une personne puisse faire les deux.

Dans le salon de coiffure, il y a bien d'autres postes a occuper en alternance avec les deux premiers: la gestion du stocks, la formation des apprentis et de l'équipe, créer des évènements ponctuels, communiquer sur les activités du salon, diriger le salon en entier ou en partie,.... Toutes ces activités sont loin d'être présentes dans tous les salons. Il y a beaucoup de potentiel  à portée de main.

En quittant l'enceinte du salon, il y a d'autres structures pour exercer. La première avec laquelle nous faisons connaissance est l'école de coiffure. Elles sont privées ou publiques. Mais il y a bien assez d'élèves pour que certains coiffeurs choisissent la voie de l'enseignement scolaire.
Les marques ont aussi besoin d'enseignants. Les marques de produits (L'Oréal, Wella, Schwarzkopf,...)avec des techniciens et celles de groupes de salons (Jacques Desanges, Mod's Hair, Jean-Claude Biguine,...) avec des coiffeurs formateurs.Les premières doivent faire connaitre au mieux leurs produits afin que leurs clients coiffeurs puissent les utiliser de la meilleure des manière. Les seconds ont une image de marque à diffuser dans tout leur réseau au travers de certaines règles et de techniques précises d'évolution de coupe.


photo Duy Ha minh
coiffeur: Laurent Micas



L'apprentissage en coiffure peut aussi mener à travailler dans les studios photo pour des magazines ou des enseignes. C'est encore un métier radicalement différent pour lequel on utilise beaucoup de perruques et de rajouts. C'est une place qui est toujours remise en question car il faut constamment faire sa propre promotion: les clients ne poussent pas spontanément la porte comme dans un salon de coiffure.


Donc, comme tous les métiers, la coiffure est multiple. les études de coiffeur peuvent mener à différentes possibilités. Et les choix faits au départ ne sont pas définitifs. Les envies et les capacités évoluent au fil des années.

Aujourd'hui je pousserai alors tous les coiffeurs et tous les enseignants à parler de toutes ces opportunités à leurs apprentis. Si ce n'est pas vous qui leur en parlerez, qui le fera?

Apprentis, jeunes coiffeurs, sachez qu'en commençant un apprentissage, votre finalité n'est pas obligatoirement le patronat.

jeudi 6 janvier 2011

Trois questions à Marc Marincamp (fondateur et président du réseau Viva la Vie)

Lu sur Coiffure de Paris n°1164:

Coiffure de Paris: Pourquoi avoir décidé d'ouvrir le capital du groupe Viva la Vie à vos adhérents?

Marc Marincamp: "Cette action permet aux adhérents de s'inscrire en véritables acteurs au sein de notre groupe et de s'impliquer à 100%. En participant au capital, ils prennent part aux décisions importantes de Viva la Vie et peuvent influer sur la politique menée. Cela permet aussi de redonner force et vigueur au groupe".

CdP: Quelles sont les conditions requises pour entrer dans le capital?
M. M.: "L'apport peut s'élever entre 550 et 1650 euro. La détention du capital pour chaque adhérent ne doit pas excéder plus de 10% et ce, afin de respecter la diversité et la démocratie. A ce jour, 29 personnes se sont engagées. Face à ce succès, nous souhaitons faire une pause".

CdP: Comptez-vous renouveler cette opération dans le futur?
M. M.: "Bien sûr. Nous pourrions imaginer une nouvelle ouverture du capital dans environ un an".

Ecolo échange

Lu sur Coiffure de Paris n°1164:

Être écolo peut rapporter gros! C'est clairement ce que propose la marque GHD, qui renouvelle cette année encore son programme d'échange. Le principe? La cliente rapporte son lisseur usagé (toutes marques confondues). En échange, elle bénéficie d'une remise immédiate de 30 euro sur l'achat d'un styler GHD de son choix. Une bonne occasion de créer du trafic en salon et de doper son chiffre d'affaires. Bonne nouvelle: GHD prend en charge la totalité de la réduction et facilite gratuitement le retour des lisseurs collectés.

Pour rappel, l'an passé, plus de 1000 salons ont participé à l'opération et plus de 15000 femmes se sont offert à petit prix un Styler GHD.

Renseignements et inscriptions: 04.78.35.46.10

Et pourquoi pas danser aussi? Tant qu'on y est....

Une page Facebook: Coiffure, une autre page Facebook: Coiffure & Coiffeurs par Artizup.com, une troisième page Facebook: Artizup.com, un profil, le site Arizup.com,... Tout ceci est géré par un même homme:Mouns Dridi.
Mouns est un coiffeur fan de communication, avec beaucoup d'initiatives pour la profession.

Sa dernière idée: un flash mob pour les coiffeurs. Mouns veut nous faire danser à Paris le lundi 4 avril prochain. Chacun est donc invité à se joindre au mouvement afin de former un groupe le plus grand possible. Au fil des jours, Mouns nous tiendra au courant des nouvelles concernant la chorégraphie à apprendre, les couleurs à porter, le lieu exact ou les horaires, sur la page Facebook de l'évènement.

mercredi 5 janvier 2011

C'est le moment!!!!

Oui, vite, vite, vite!!!! Nous avons juste un mois pour nous plier aux convenances: 

Du bonheur, de la folie, de la joie, du succès, des rires,..... tout ça pour 2011.

Comme j'aime bien m'amuser, je vous le souhaiterai dans l'ordre des pays qui sont progressivement passé à minuit selon leur fuseau horaire (oui, je suis un mec tordu):

Kia hari te tau hou  
Bon ane 
謹賀新年  
新年快乐
chúc mừng năm mới
สวัสดีปีใหม่
नया साल मुबारक हो
גליקלעך נייַ יאָרשנה
טובה ומבורכת 
C Новым годом
سال نو مبارک سنة جديدة سعيدة
Mutlu yeni yıl
З Новим роком
An nou fericit
Onnellista uutta vuotta
Head uut aastat
Щастлива Нова година
Ευτυχισμένο το νέο έτος
Laimīgu Jauno gadu
Sena t-tajbaBoldog új évet
Šťastný nový rok
Godt nytt år
Gezuar vitin e ri
Felice anno nuovo
Glückliches neues Jahr
Godt nytår
Feliç any nou
Urte berri on
Feliz año nuevo
Gott nytt år
Happy new year
Feliz ano novo
Happy bhliain nua
Gleðilegt nýtt ár


mardi 4 janvier 2011

Le dernier Mister Hairdresser de l'année

Le  concours Miss/Mister Hairdresser on Facebook a explosé tous ses records de votes.
Lors des précédentes versions, Axelle avait remporté le concours à deux reprises avec 46 puis 81 votes.
Cette fois-ci, c'est Chrisland Formation Chignon qui gagne haut la main avec 325 votes!!!


coiffure: Chrisland Formation Chignon

Il est suivi par Roberto Panto (285)

coiffure: Roberto panto
make up maria waller
shooting patrick nicolet
modèle morgane meire-brand

et Fred Viennet (167)

coiffure: Fred Viennet
 
L'ensemble des photos est consultable sur Picasa.