jeudi 24 mars 2011

Concourons à la Haute Coiffure Française!

En cette année 2011, nous aurons le 3° concours de la HCF dont la finale sera le dimanche 11 septembre au Carrousel du Louvre.

L'idée:

Le HCF Trophy récompense la mise en beauté globale d'un modèle féminin. Libre cours est donné à la créativité. L'harmonisation coupe et couleur est à privilégier. La mise en beauté, le stylisme et le maquillage doivent valoriser l'image, la création. Le HCF Trophy est ouvert aux coiffeurs de tout âge, adhérents ou non de la Haute Coiffure Française.

Et comme ils sont bilingues à la HCF:

The HCF Trophy rewards the overall embellishment of a female model, highlighting the cut, colour and creation. The aesthetics, styling and make-up must enhance the work of the hairdresser. The HCF Trophy is open to hairdressers of all ages, whether or not they are members of Haute Coiffure Française.


Pour cela, il faut envoyer le dossier d'inscription avant le 30 juin à la HCF. Tous les renseignements sur leur site www.haute-coiffure.com ou par téléphone: +33 (0)1 43 87 96 43.

mercredi 23 mars 2011

C'est le printemps

Alors je mets quelques fleurs sur ce blog.
J'ai pris la photo fin février sur l'île de Gran Canaria. Je vous conseille la visite: c'est très agréable.

Tutoie moi [ou pas]

Sabrina, une jeune coiffeuse, blogueuse, nous confie son expérience et son hésitation quant au tutoiement avec ses clients:





Sujet du jour: les relations clientèles.

Je me demande s’il est bon ou non d’accepter qu’une cliente me tutoie et vice versa!

Au début de ma carrière lorsqu’une cliente me le proposait [cela ne vient jamais de moi.....question d'éducation sans doute!],j’acceptais sans problème surtout si elle avait presque le même âge que moi.

Mais plus le temps passe et plus j’ai l’impression dans de nombreux « cas » que c’est une mauvaise idée!!!

Cela casse « la barrière » qui est censée exister entre elles et moi!!!

Je trouve qu’une cliente se permettra plus de réflexions ou autres si cette proximité existe….et de mon coté, j’aurais tendance à lui parler comme je parle « dans la rue » ou comme je parlerais à une copine!!! Et ça craint, une cliente reste une cliente et non une copine [Sauf 2 ou 3 qui le sont devenu depuis.... [Sauf ma Dean qui est aujourd'hui ma meilleure amie] [Et sauf ma deuxième Amandine qui est une personne formidable].

Beaucoup de salon style Tony & Guy prônent le tutoiement, c’est plus cool selon eux, ça fait plus djeune’s!!!!

Donc depuis quelques temps lorsqu’une cliente [souvent nouvelle] me le propose, je lui donne l’autorisation de le faire [En même temps c'est délicat  de dire: non] mais je lui explique que moi, je continuerai à la vouvoyer. Ce n’est pas pour cela que je suis moins cool et ce n’est pas pour cela que je me la joue « grande » coiffeuse non plus!!



J’ai aussi commis la faute d’accepter certaines d’entre elles sur mon Facebook perso jusqu’au jour où l’une d’elles m’a sorti: « Je matais tes photos hier avec des potes, et y’en a un qui connait Mika!! »

Bon, déjà qu’est-ce qu’elle fout à montrer mes photos à ses potes et d’où elle me parle de mon mec comme si elle le connaissait…. J’ai trouvé ça malsain et du coup je les ai toutes virées!!!

Et un beau jour, sa mère est venue se faire coiffer, et dans la conversation, je lui demande comment va sa fille.

Sa réponse:  « Elle est fâchée, vous l’avez virée de Facebook!!! »

Donc pour cette fille, on était « amie » sur Facebook et je pense qu’elle nous a considérées comme telle dans la vraie vie mais NON…NON et NON…. je ne suis pas là pour faire copine/copine avec les clientes!!!

Depuis, elles ne viennent plus toutes les deux. Je veux bien perdre de la clientèle parce que mon travail n’aura pas plu mais je ne veux plus en perdre pour ces raisons là!!!


PS/je porte mes toutes dernières chaussures commandées chez Spartoo ici/Une tunique H&M/Une veste et une jupe Zara/Un sac See by Chloé/le foulard aussi vient de chez Zara.



Article d'origine: http://sabrinalicious.wordpress.com/2011/03/13/tutoie-moi-ou-pas/

mercredi 16 mars 2011

Fusion par L'Annexe

Aujourd'hui, les 15 salons affiliés au club L'Annexe vous présente Fusion, leur collection coupe et couleur.

Fusion, car c'est l'union des savoirs qui a abouti a une frange graphique dont la régularité tranche avec une longueur assouplie et allégée par un dégradé-effilé en forme de triangle dis-connecté sur la partie supérieure.

Fusion, car cette collection propose de rassembler, sous une même ligne de coupe, les blondes comme les rousses.

Fusion, pour unir ses envies à sa réalité.





L'Annexe, le club des coiffeurs indépendants, a vu le jour en 2007.

Le principe de ce club est de réunir les coiffeurs indépendants (en commençant modestement par le Sud-Ouest, afin de leur apporter divers services:
-formation en coiffure, gestion ou management
-tarifs préférentiels auprès de différents fournisseurs et fabricants
-rencontres artistiques
-tables rondes
-analyses comparatives des résultats de CA
-aide au recrutement
-...

L'âme de L'Annexe se veut dans l'échange et le partage. Une adresse où chacun peut venir pour apprendre et partager ses connaissances.

Les marques partenaires de L'Annexe sont GHD, Redken, L'Oréal professionnel.

lundi 14 mars 2011

Durable et... humain!

Éditorial par Eve Laborderie pour L'Éclaireur n°538:


Notion en vogue, et à juste titre, le développement durable est entré par la grande porte dans notre profession avec, notamment, un label mis en place par les Institutions de la Coiffure et l'ensemble des partenaires de cette organisation professionnelle (FNC, CNEC...) il y a maintenant 2 ans. Dans le secteur de l'artisanat, les coiffeurs sont d'ailleurs précurseurs en la matière même si, évidemment, s'engager sur la voie de la certification par ce "label développement durable" n'est pas toujours chose facile pour eux, faute de temps... Au croisement de plusieurs approches, cette nouvelle stratégie de développement peut cependant amener de multiples bénéfices. Environnementaux, bien sûr, mais aussi économiques et sociaux, ce qu'on a un peu tendance à oublier...

Une meilleure gestion de l'eau, de l'électricité, et une vraie réflexion autour du contenu et de la durée des différents services peuvent aussi en effet aboutir à réaliser de notables économies et à augmenter sa rentabilité. La notion de développement durable incluant par ailleurs l'aspect "santé" (évacuation de l'air ambiant, ergonomie des outils de travail, notamment bacs, sièges et sèche-cheveux utilisation de produits plus naturels, y compris pour l'entretien du salon...), elle a aussi un impact direct sur les collaborateurs lesquels, dans une telle démarche, ne peuvent que se sentir mieux considérés: un salon qui cultive le bien-être et la santé de ses salariés, cela ne court pas les rues.

Enfin, comme le "développement durable" ne peut découler que d'un engagement de tous, à chaque instant, cette démarche conduit nécessairement à impliquer toute une équipe, au quotidien, et à tous les niveaux de l'activité. Ce qui valorise le travail de chacun et, surtout, contribue à responsabiliser le (la) moindre apprenti(e). Bénéfice secondaire: une diminution significative du turn-over des employés, véritable fléau du métier. Bref, une démarche de développement durable peut et doit servir à se démarquer de ses concurrents, et à fidéliser les clients. Mais elle est aussi indéniablement porteuse, en interne, d'un nouveau type de management, plus "humain", qui pourrait bien souder davantage des équipes de coiffeurs souvent mises à rude épreuve au quotidien...

samedi 12 mars 2011

Quatre questions à Philippe Vottero

Lu sur Coiffure de Paris n°1166:



Coiffure de Paris: Vous lancez un salon "social"à Marseille. Pouvez-vous nous expliquer de quoi il s'agit?
Philippe Vottero: C'est un salon de 20m² avec 6 postes de coiffage, juste à côté de mon salon ouvert en 1990. Ce local est destiné à tous les coiffeurs qui ont des soucis et n'ont pas de lieu où coiffer. Ils peuvent en disposer toute la journée pour 50 euro. Avec une fiche moyenne à 36 euro, ils rentrent très vite dans leurs frais. Le public devrait être varié et de tous les a^ges: coiffeurs qui ont mis la clé sous la porte pour cause de crise, jeunes en possession d'un BP qui veulent ouvrir leur salon mais n'y arrivent pas, auto-entrepreneurs qui souhaitent se constituer une clientèle... Tous devraient y trouver leur compte.

CdP: Pourquoi une telle aventure?
P.V.: J'ai eu moi-même un parcours assez chaotique, avec des périodes de chômage assez longues. J'ai aussi été obligé de travailler gratuitement et j'ai mis beaucoup de temps à m'installer. D'ailleurs, à 18 ans, je pensais déjà créer un salon pour tous les coiffeurs exclus du système. Il y a, en effet, énormément de jeunes au chômage et s'ils n'ont pas leurs parents derrière, ils n'y arrivent pas.


CdP: Comment les coiffeurs interviennet-ils dans le salon?

P.V.: Le local a été entièrement refait, avec un beau décor agréable à vivre. Les coiffeurs qui veulent venir me passent un coup de fil, pour voir s'il reste de la place.

CdP: Comptez-vous vous arrêter là?
P.V.: Non, la formule pourrait, d'ailleurs, faire des petits. J'y crois vraiment et j'aimerais bien en ouvrir un second.

samedi 5 mars 2011

On se réveille!!

A croire que le froid et la pluie poussent à l'hibernation collective. Le concours Miss/Mister Hairdresser on Facebook démarre très doucement pour cette cession hivernale.
Nous avons malgré tout 12 participants qui sont très axés sur la coiffure attachée pour cette saison.

Il est toujours tant de poster votre propre photo ou d'aller voter pour celle que vous préférez.


coiffure: Didier Collado _ photographe: Alexandre Pattein  _ mannequin: Olga

vendredi 4 mars 2011

La HCF en CHINE

La collection Printemps-Eté 2011 de la Haute Coiffure Française vous sera présentée les 23 et 24 mars 2011 à Pékin en Chine.


Pour toutes informations, merci de bien vouloir contacter la Haute Coiffure Française au :+33 (0)1.43.87.96.43

Pour toutes réservations, veuillez contacter Charlotte Collinot - Agence Motiv'events - au :+33 (0)5.61.54.76.03 / charlotte@motivevents.com

Bulletin d'Inscription Pékin mars 2011

 

mercredi 2 mars 2011

Tricot

Épingles, pinces, filets, brosses, peignes,... Sandrine Ruiz en a eu marre et a sorti les aiguilles à tricoter pour ses nouvelles créations.
C'est en voyant les collections couture où la laine est très présente que l'idée du tricot est venue à Sandrine.
Avant d'obtenir ce qu'elle souhaitait, elle a dû essayer plusieurs points de tricotage, plusieurs formats d'aiguilles. Le résultat en est très surprenant et magnifique.

Sandrine Ruiz travaille à Toulouse avec son frère Cédric, au salon Hair Studio.

photo: Stéphan Sanchez
maquillage: Carole Petrigno
modèle: Floriane
coiffure: Sandrine Ruiz

photo: Stéphan Sanchez
maquillage: Carole Petrigno
modèle: Floriane
coiffure: Sandrine Ruiz