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lundi 3 octobre 2011

Règlement intérieur capillaire

Les japonais seraient-ils déjà tous devenu fous après l'explosion de leurs centrales nucléaires?

Coiffure de Paris nous apprend que pour économiser les usines à électrons au pays du soleil levant, toutes les mesures les plus originales sont mises en place. Entre autres, une société de construction a imposé un code coiffure à ses 2700 employés. Nuque et tempes courtes pour les hommes et coupe au carré avec frange longue pour les femmes. Résultats? Moins d'eau et d'électricité dépensées, mais des coiffeurs qui risquent la déprime.




samedi 24 septembre 2011

lundi 11 juillet 2011

Et si on changeait de vitrine?

En ce moment, le magazine Coiffure de Paris vous propose de relooker et de moderniser la vitrine de votre salon. Pour cela, il suffit simplement d'envoyer quelques photos de votre salon (la vitrine bien-sûr) à sellero@ reedbusiness.fr

Un reportage avant-après sera évidemment consacré dans un prochain numéro de la revue.

samedi 12 mars 2011

Quatre questions à Philippe Vottero

Lu sur Coiffure de Paris n°1166:



Coiffure de Paris: Vous lancez un salon "social"à Marseille. Pouvez-vous nous expliquer de quoi il s'agit?
Philippe Vottero: C'est un salon de 20m² avec 6 postes de coiffage, juste à côté de mon salon ouvert en 1990. Ce local est destiné à tous les coiffeurs qui ont des soucis et n'ont pas de lieu où coiffer. Ils peuvent en disposer toute la journée pour 50 euro. Avec une fiche moyenne à 36 euro, ils rentrent très vite dans leurs frais. Le public devrait être varié et de tous les a^ges: coiffeurs qui ont mis la clé sous la porte pour cause de crise, jeunes en possession d'un BP qui veulent ouvrir leur salon mais n'y arrivent pas, auto-entrepreneurs qui souhaitent se constituer une clientèle... Tous devraient y trouver leur compte.

CdP: Pourquoi une telle aventure?
P.V.: J'ai eu moi-même un parcours assez chaotique, avec des périodes de chômage assez longues. J'ai aussi été obligé de travailler gratuitement et j'ai mis beaucoup de temps à m'installer. D'ailleurs, à 18 ans, je pensais déjà créer un salon pour tous les coiffeurs exclus du système. Il y a, en effet, énormément de jeunes au chômage et s'ils n'ont pas leurs parents derrière, ils n'y arrivent pas.


CdP: Comment les coiffeurs interviennet-ils dans le salon?

P.V.: Le local a été entièrement refait, avec un beau décor agréable à vivre. Les coiffeurs qui veulent venir me passent un coup de fil, pour voir s'il reste de la place.

CdP: Comptez-vous vous arrêter là?
P.V.: Non, la formule pourrait, d'ailleurs, faire des petits. J'y crois vraiment et j'aimerais bien en ouvrir un second.

mercredi 9 février 2011

Next Hairstyle

Lu sur Coiffure de Paris n°1165:

L'édition 2011 du salon Hairstyle ouvrira ses portes les 27 et 28 février prochains, à Courtrai en Belgique. L'occasion pour les coiffeurs du Benelux de puiser leur inspiration parmi les 130 exposants et les nombreux shows. A noter, le salon inaugurera, pour la première fois, une série de mini-podiums techniques, un hall de shows permanents et un défilé de jeunes talents, baptisé "Young Upcoming Talent". Parmi les coiffeurs invités, William de Ridder, Carlo Bay, Christine Xantippe, Toni Kalin, Pascal Van Loenhout et toute l'équipe artistique américaine de la marque Paul Mitchell. L'Union des Coiffeurs belges présentera sa nouvelle collection printemps-été Impact.


jeudi 6 janvier 2011

Trois questions à Marc Marincamp (fondateur et président du réseau Viva la Vie)

Lu sur Coiffure de Paris n°1164:

Coiffure de Paris: Pourquoi avoir décidé d'ouvrir le capital du groupe Viva la Vie à vos adhérents?

Marc Marincamp: "Cette action permet aux adhérents de s'inscrire en véritables acteurs au sein de notre groupe et de s'impliquer à 100%. En participant au capital, ils prennent part aux décisions importantes de Viva la Vie et peuvent influer sur la politique menée. Cela permet aussi de redonner force et vigueur au groupe".

CdP: Quelles sont les conditions requises pour entrer dans le capital?
M. M.: "L'apport peut s'élever entre 550 et 1650 euro. La détention du capital pour chaque adhérent ne doit pas excéder plus de 10% et ce, afin de respecter la diversité et la démocratie. A ce jour, 29 personnes se sont engagées. Face à ce succès, nous souhaitons faire une pause".

CdP: Comptez-vous renouveler cette opération dans le futur?
M. M.: "Bien sûr. Nous pourrions imaginer une nouvelle ouverture du capital dans environ un an".

Ecolo échange

Lu sur Coiffure de Paris n°1164:

Être écolo peut rapporter gros! C'est clairement ce que propose la marque GHD, qui renouvelle cette année encore son programme d'échange. Le principe? La cliente rapporte son lisseur usagé (toutes marques confondues). En échange, elle bénéficie d'une remise immédiate de 30 euro sur l'achat d'un styler GHD de son choix. Une bonne occasion de créer du trafic en salon et de doper son chiffre d'affaires. Bonne nouvelle: GHD prend en charge la totalité de la réduction et facilite gratuitement le retour des lisseurs collectés.

Pour rappel, l'an passé, plus de 1000 salons ont participé à l'opération et plus de 15000 femmes se sont offert à petit prix un Styler GHD.

Renseignements et inscriptions: 04.78.35.46.10

mercredi 15 décembre 2010

L'Ecosalon. Partageons nos idées durables

Lu sur Coiffure de Paris n°1163:


Montrer qu'un salon écolo n'est pas forcément bobo et cher, tout en ouvrant un dialogue responsable avec ses clients et ses voisins commerçants. Tel est le pari d'Olivier Delange avec l'Ecosalon.

Olivier Delange
Parce que le développement durable, c'est aussi utiliser l'existant, il s'est gardé de tout changer. Ça tombait bien, le local était déjà un salon de coiffure. Les postes de coiffage sont donc restés en l'état. Quant aux halogènes qui assurent l'éclairage au plafond, s'il a décidé d'en ôter quelques-uns, il attend patiemment que les autres cessent de fonctionner pour les remplacer par des LED, moins consommateurs d'énergie. Le 9 octobre, Olivier Delange a ouvert l'Ecosalon, rue Olivier de Serres, dans le XV° arrondissement de Paris. Un salon de coiffure qui se veut expert du développement durable et qui entend partager cette culture tant avec ces clients qu'avec les commerçants voisins. Vin bio et discussions autour de l'implication des PME et des TPE sur cette vaste question étaient donc au programme d'une soirée d'inauguration où l'on pouvait à la fois découvrir les aménagements du salon et échanger avec les acteurs du secteur. Rien d'étonnant, lorsqu'on sait que Loïc Fel, l'associé d'Olivier Delange, est aussi et surtout le responsable développement durable de l'agence de communication BETC Euro RSCG. C'est, d'ailleurs, ensemble qu'ils ont conçu l'Ecosalon, avec l'idée que le discours sur le développement durable devait dépasser les ONG et les grandes entreprises. De quoi se confronter à une réalité plus populaire et, dans le cadre d'un salon de coiffure, se départir d'une image "trop bobo et trop chère".
C'est un petit sacrifice et un pari, mais Olivier Delange a choisi de s'aligner sur les prix du quartier, et de ne pas répercuter le surcoût de son équipement et de ses fournitures à la clientèle. Car, côté produits, il a évidemment opté pour des gammes bio ou les plus naturelles possible - à l'huile d'argan par exemple, comme les produits Kaé ou Couleur Papillon -, qui sont souvent plus chères. Même chose pour son café, certifié Rainforest Alliance, une organisation qui œuvre pour la préservation de l'environnement par le développement d'une agriculture durable. Comme la gestion des déchets fait naturellement partie de sa démarche, il utilise d'ailleurs le marc, aux vertus antioxydantes, pour ses préparations capillaires.

Des soins sur-mesure fabrication maison
Car Olivier Delange, qui dit avoir un petit côté Rika Zaraï, a imaginé tout une série de soins sur-mesure qu'il fabrique lui-même. Avec du miel, du gingembre, des clous de girofle, mélangés à de l'huile d'amande douce ou de noix de coco. Et, s'il a déposé le nom Ecosalon, c'est justement parce qu'il ambitionne, dans un deuxième temps, d'avoir sa propre ligne de produits, pour ne pas dépendre des groupes pour son approvisionnement.
Dans ses choix durables, on note encore une peinture murale bénéficiant d'un écolabel européen pour sa faible émission de composés organiques volatils, des séchoirs en plastique recyclé à basse consommation, des noix de lavage indiennes pour le linge, des plantes et un étonnant meuble de stockage pour les cheveux coupés, imaginé pour cacher la tuyauterie des bacs déplacés lors du réaménagement du salon. L'avantage, c'est qu'il est ensuite possible de récupérer les cheveux et de les mettre au pied des plantes de la cour et, ainsi, les protéger du gel en hiver. Un embryon de recyclage. Mais, demain, il sera peut-être possible d'aller plus loin. Comme le note Loïc Fel, la marée noire dans le golfe du Mexique a montré que l'on pouvait monter une filière de valorisation industrielle pour les cheveux. Enfin, comme le développement durable passe aussi par le management, Olivier Delange, dont c'est le premier salon - il était auparavant coiffeur studio -, est allé choisir avec son apprenti le mobilier de la pièce de repos de 20 m² attenante au salon. Un espace conséquent, avec réfrigérateur et micro-ondes, qu'il juge crucial. "Il faut être bien dans sa peau et dans sa tête pour bien travailler", dit-il. Difficile de le contredire!

lundi 13 décembre 2010

Nouvel air

Lu sur Coiffure de Paris n°1163:


Vu chez Velecta Paramount, le dernier séchoir Flex Hybrid, gardé secret jusqu'au salon (MCB). Son moteur Brushless dure 10000 heures. Il pèse 70 grammes et est plus silencieux et plus rapide que les moteurs actuellement sur le marché. D'où la possibilité de réaliser un brushing de plus par jour. La forme de son prolongateur, mise au point avec un ostéopathe, permet de lutter contre les troubles musculosquelettiques (TMS). Une révolution.

vendredi 5 novembre 2010

Nominations

Nicolas Hieronimus
Lu sur Coiffure de Paris n°1162:


Ça bouge chez L'Oréal Professionnel...Dés le 1° janvier prochain, Nicolas Hiéronimus prendra les rênes de la direction générale de la Division des Produits de luxe. 23 ans après son entrée dans le groupe, il continue son ascension et quitte son poste de responsable auprès de la direction générale de la Division des Produits professionnels. C'est An Verhulst-Santos qui lui succèdera, après plus de 20 ans d'expériences marketing au sein de L'Oréal Professionnel, notamment pour les marchés internationaux.

jeudi 4 novembre 2010

Nouveau président pour Alès Groupe

Lu dans Coiffure de Paris n°1161:


Bernard Flaubert devient le nouveau directeur général d'Alès Groupe. Il succède à Patrick Alès, fondateur et actionnaire principal qui conserve le poste de président du conseil d'administration.

A 48 ans, Bernard Flaubert, ancien élève de l'Ecole Polytechnique, connait bien le monde des cosmétiques. En 1995, il a rejoint le groupe LVMH comme responsable de la stratégie du groupe et directeur du développement international des parfums Christian Dior. En 2009, il fonde un cabinet de conseil spécialisé dans les solutions de croissance et rencontre un certain Patrick Alès...

Aujourd'hui, Alès Groupe, propriétaire des marques Phyto, Liérac ou encore Caron, a réalisé, en 2009, un chiffre d'affaires de 165 millions d'euro, dont 60% à l'international.