Affichage des articles dont le libellé est L'Eclaireur. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est L'Eclaireur. Afficher tous les articles

vendredi 14 octobre 2011

Paris Hair Days, première!

Eve Laborderie
Fin septembre, l'évènement tant attendu: Paris Hair Days a eu lieu au Carrousel du Louvre à Paris. Dans l'éditorial de L'Eclaireur, Eve Laborderie nous dresse un bilan assez dur pour cette première édition mais encourageant pour l'avenir.

Eve nous explique que la programmation de haut vol n'a pas suffit à compenser une manque de communication, un tarif d'entrée trop élevé et une commercialisation tardive. D'après la journaliste, les shows et workshops ont attiré beaucoup de monde contrairement à la partie expo et aux podiums.
En revanche, Eve Laborderie reste très positive quant aux futures éditions de Paris Hair Days dont elle pense que le potentiel reste encore à explorer.

Toutes les photos sur la médiathèque.


samedi 2 juillet 2011

INJS: un show fort en émotion

Lu dans L'Eclaireur n°554:


Malentendants,peut-être, mais pro, c'est une certitude!
Les jeunes élèves de la section coiffure de l'Institut national des jeunes sourds (INJS) ont livré le 25 mai dernier un show de grande qualité, devant un public de proches, d'enseignants et de représentants de leur "parrain" L'Oréal Produits Professionnels.

Le thème choisi? "La coiffure à travers les siècles", ce qui a donné lieu à 4 tableaux, et des évocations du XVIII° siècle au futur... Les costumes avaient été réalisés par leurs camarades de la section "Couture", et la chorégraphie conçue et orchestrée par Antoinette Angelosanto, de L'Oréal Produits Professionnels.

Le final a fait la part belle à l'émotion quand les jeunes, précédés de leurs professeurs, ont interprété en langage des signes le refrain du tube de Grégoire, "Toi + moi", et ont invité le public à les rejoindre sur scène...

Le talent n'attend pas le nombre des années, et n'a que faire de la "normalité"!

mardi 24 mai 2011

1 an de coiffure à gagner avec Viva La Vie!

Lu sur L'Eclaireur n°548:

Les 150 salons adhérents au label ont mis en œuvre une opération originale, permettant aux clientes de gagner "1 an de coiffure gratuite" (et des dizaines d'autres lots), via des tickets à gratter jusqu'au 15 juin prochain. Faites vos jeux!

site internet de Viva La Vie

dimanche 22 mai 2011

Jean-Claude Aubry débarque à Paris

Lu sur L'Eclaireur n°547:


Avec l'implantation de ses 3 enseignes Coiffure du Monde, Jean-Claude Aubry et Shopping dans le centre commercial du Millénaire, à Aubervilliers, en région parisienne, le groupe toulousain frappe un grand coup. Et lève le voile sur un concept de "magasin de produits"...

Jamais en retard d'une idée, et encore moins d'un centre commercial, surtout s'il se veut novateur, Jean-Claude Aubry a su saisir l'opportunité du tout nouveau Millénaire, inauguré à Aubervilliers le 26 avril dernier. Il y ainsi dégainé ses 3 concepts de salons, jusqu'ici surtout présents dans le sud et l'ouest de la France: le concept Jean-Claude Aubry positionné "luxe abordable", l'enseigne Coiffure du Monde dédiée à tous les types de cheveux et de boucles, et le magasin Shopping axé sur la revente de produits professionnels. Pour cette dernière enseigne, jusqu'ici exclusivement présente à Toulouse, au sein d'une petite galerie marchande qui ne paye pas de mine mais qui "dépote", avec sa parapharmacie à 3000 clients/jour, il s'agissait bel et bien d'un baptême du feu. Car si Shopping marche bien dans al ville rose (1.15 millions d'euro de chiffre d'affaires en 2010), il y bénéficie d'un environnement particulier. Au Millénaire, où il est plus beau et plus exposé, ce magasin joue le rôle d'un prototype qui, s'il s'avère opérationnel, pourra être facilement dupliqué. L'idée de départ? "Depuis des années, on essaye de vendre en salons des produits professionnels mais, au mieux, le taux de revente tourne autour de 10% du chiffre d'affaires, constate Jean-Claude Aubry, président du groupe du même nom. Et on a beau faire, la marge de progression semble très faible..."

Une enseigne dédiée à la revente
"De plus, la vente de produits est souvent vécue comme un moment "embêtant" par les coiffeurs comme par les clientes. Il me semble qu'une femme est portée soit par un désir de coiffure, de beauté, de bien-être, soit pas un désir d'achat. Et que ces désirs ne naissent pas forcément au même moment, et ne s'épanouissent pas dans le même environnement."

"Environnement", le mot est lâché. Pour le coiffeur, c'est ce qui fait la différence de résultat, bien plus que le prix (chez Shopping, les produits professionnels sont vendus environ 20% moins cher que dans les salons). "J'ai fait une expérience à Toulouse, poursuit-il, en mettant en vente dans un de mes salons des produits au prix Shopping: les ventes ont à peine oscillé." Bref, il faut créer un environnement de type "boutique", et non pas "salon", pour que la cliente s'y retrouve. En étant compétitif, mais sans nécessairement "casser les prix" car, pour Jean-Claude Aubry, cette stratégie est dépassée et ne présente d'intérêt pour personne.

Shopping
Les ingrédients du concept Shopping? Un environnement très "magasin", donc, avec un large choix de produits en libre-service, une entrée (et une sortie!) libre, des prix moins élevés, et des vendeurs dûment formés pour conseiller et orienter la clientèle. "Tous nos vendeurs sont des coiffeurs, ce sont même parmi les meilleurs, ce qui n'est pas forcément le cas, à la vente, dans tous les salons!" souligne le patron toulousain. Par ailleurs, un atelier coiffure est prévu au fond du magasin afin d'y dispenser aux clientes de mini-prestations, comme des coiffages, ou leur montrer comment utiliser certains appareils. "Nous rappelons que nous sommes coifferus avant tout, et nous le montrons, rappelle Jean-Claude Aubry. C'est la même démarche lorsque nous vendons des produits sur internet: les prix sont ceux de Shopping, mais nous offrons aussi aux clientes l'équivalent de 10% de leur montant d'achat à valoir en prestation coiffure. L'idée, c'est d'en profiter pour booster la fréquentation de nos salons, et de valoriser la filière coiffure." Finalement, entre laisser filer des ventes et organiser soi-même une concurrence "contrôlée", sous la bannière de professionnels de la coiffure, il n'y a sans doute pas photo. Même si la démarche en irrite certains...
 Au centre commercial du Millénaire, en tout cas, Shopping a démarré sur les chapeaux de roues avec 4000 euri de chiffre d'affaires le premier samedi (pour une fréquentation d'environ 10000 personnes!) "Ca démarre plus vite qu'un salon, reconnait le coiffeur, alors qu'il n'y avait aucune animation ni "leçon de coiffure" dans l'atelier. Ma première impression est bonne, mais attendons quelques mois..."

Coiffure du Monde
L'enseigne Coiffures du Monde récolte aussi les fruits de son positionnement multi-ethnique, ce qui découle directement de la localisation du centre commercial en banlieue populaire (Seine-Saint-Denis). Même s'il y a aussi des bureaux à proximité et que , globalement, les ambitions architecturales du centre y attirent des populations variées. "On y voit des jeunes, des Blacks, des Juifs en tenues traditionnelles, des personnes plus BCBG, des gens à la recherche de bonnes affairez: la clientèle est très éclectique et préfigure peut-être le monde de demain."

Cette implantation de 3 enseignes en région parisienne est-elle un "one shot", dans un centre commercial pilote, valorisant? Pas vraiment. "Nous avons une vraie volonté de nous développer en région parisienne, affirme Jean-Claude Aubry. Ce centre nous donne une très bonne visibilité, et nous comptons bien ouvrir d'autres salons, plutôt des filiales s'il s'agit de centres commerciaux, et des franchises en centres-villes." Le bouillonnant patron toulousain n'a pas fini de faire parler de lui.

samedi 30 avril 2011

Purification de l'air

Lu dans L'Eclaireur n°535:


Bonne nouvelle: à l'heure où la question de l'aération des locaux professionnels et de l'élimination des polluants revient sur le devant de la scène (cf. L'Eclaireur n°529 du 10 janvier dernier, article sur les formaldéhydes et le lissage brésilien), une chercheuse du CNRS, Valérie Keller, vient d'inventer un procédé d'épuration de l'air intérieur. Cette technique, que la scientifique a présentée le 19 janvier, fait appel à la photocatalyse, une action chimique à la lumière sur des nanoparticules de dioxyde de titane. Elle permettrait de détruire entre 80 % et 100 % des produits chimiques volatils et des micro-organismes ainsi traités. Et ce -détail capital au vu d'autres solutions existantes pas toujours maîtrisées-, sans engendrer de résidus nocifs! Adieu molécules organiques toxiques (dont le monoxyde de carbone ou les solvants), bactéries (dont les légionelles), virus, spores et acariens! Ce dispositif pourrait être disponible dès cette année, pour le grand public et les professionnels, pour peu que les essais effectués en milieu hospitalier s'avèrent concluants...

jeudi 7 avril 2011

Sophie Bauçais "je suis constamment dans l'action"

Dans l'Eclaireur Plus d'avril 2011, Florence Baumann nous offre un excellent entretien avec Sophie Bauçais.

Sophie, qui fait partie de l'équipe de création de la Haute Coiffure Française depuis plus de 10 ans, nous raconte qu'elle y trouve une inspiration qu'elle transmet ensuite au personnel de ses salon. C'est alors 42 personnes pour 5 salons qui ont besoin de Sophie, comme elle a besoin d'eux, confit-elle.

Cela fait presque 20 ans que Sophie a repris l'entreprise de son père, après avoir passé le CAP, le BP ainsi que le BM. Dans la famille, ni elle, ni ses parents ne souhaitaient qu'elle occupe ce poste de façon illégitime. Il lui a fallu "habiter" cette place et se faire accepter par des salariés qui, certains, la connaissaient depuis l'enfance.

Quand Florence lui demande comment elle manage 5 salons et 42 salariés, Sophie répond "en me partageant de façon égale en cinq morceaux!". Au fil du temps, elle a pu instaurer une communication transparente et fluide afin que chacun sache qu'elle n'est pas là pour régner mais bien pour faire avancer le navire.

Un des regrets que Sophie nous confie est le manque de médiatisation de la coiffure auprès du grand public qui ne sait presque rien de  ce métier.

Parfois, Sophie pense à ouvrir un sixième salon. Elle y voit une motivation supplémentaire et un moyen de casser les automatismes et d'insuffler de la nouveauté à toute son équipe.

Sophie Bauçais

lundi 28 février 2011

Frédéric Bonifacy nouveau pdg de Schwarzkopf

Lu sur L'Eclaireur:

Frédéric Bonifacy, 45 ans, a pris ses nouvelles fonctions de président directeur général de Schwarzkopf Professional France le 1er février dernier. Il succède à Katharina Hoehne, promue à la tête de la région Asie Pacifique.
 Chef de secteur en Midi-Pyrénées pour la branche Cosmétiques du groupe Henkel, formateur national des ventes, directeur national des ventes, directeur commercial France, directeur général en Tunisie, toujours pour la branche Cosmétiques grand public, il gravit tous les échelons du groupe.
Propulsé à la tête de la division capillaires professionnels d’Henkel, nul doute que cet amateur de musique et sportif assidu trouvera de nouveaux challenges à relever…

jeudi 20 janvier 2011

Le lissage brésilien sur la sellette

Lu dans L'Eclaireur n°529:


Des rumeurs couraient depuis quelques mois concernant une interdiction imminente des lissages brésiliens... Rien de tel en réalité, mais un sérieux rappel de la part de l'AFSSAPS, de normes parfois non respectées.


Au cours des prochains mois, le marché naissant du lissage à la kératine (dit brésilien) devrait connaitre sa première grosse évolution, non pas technique mais règlementaire! Le ton a été donné récemment avec l'émission d'un communiqué de l'AFSSAPS (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé): quelques références de produits à la kératine ont en effet du mal à respecter la réglementation concernant leur teneur en formaldéhyde libre (sensibilisant et allergisant avéré, cancérigène possible). La limite maximale autorisée pour cette substance est de 0.2%: or, dans certains pays (notamment l'Irlande, les États-Unis et le Canada), on a relevé dans une trentaine de produits des teneurs 5 à ...50 fois supérieures! En France, moins touchée par ce problème, des teneurs en formaldéhyde de 0.61% à 5.87% ont néanmoins été détectées dans 8 produits. Courant décembre, ceux-ci* ont été retirés du marché par leurs fabricants ou distributeurs. Mais l'AFSSAPS garde désormais un œil sur la question, tandis que la DGCCRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes) a procédé à la saisie des produits encore commercialisés. En outre, ces deux organismes ont mis en garde les consommateurs contre l'achat de produits interdits sur internet, d'autant que les plus dangereux ont été distribués sur le marché nord-américain, et sont donc disponibles sur le web.
photo: Laurent Micas
Au final, l'application de produits de lissage ailleurs que chez des professionnels est déconseillée. Et ceux-ci doivent disposer pour leur part d'un système d'aération adapté afin d'évacuer le formaldéhyde et le méthylène glycol dégagés lors du passage du fer à lisser sur les cheveux. Il est enfin rappelé que les emballages des produits de lissage qui contiennent 0.05% à 0.2% du composé incriminé doivent porter la mention "contient du formaldéhyde", et que les notices doivent être rédigées en français.

En définitive, aucune interdiction des techniques de lissage brésilien dans leur globalité, ni même d'une ou plusieurs marques, n'est prévue, mais les distributeurs et les professionnels sont tenus d'opérer un meilleur contrôle.


*liste réactualisable sur afssaps.fr.

lundi 13 décembre 2010

ICB fait peau neuve

Lu sur L'Éclaireur n°527:

Après des années difficiles, la société d'intérim spécialisée dans la coiffure ICB tourne la page. Rachetée par Jean-Régis About le 2 novembre dernier, l'entreprise a pour objectif de conforter son savoir-faire traditionnel par le développement de marchés de niche, en plaçant des coiffeurs intérimaires dans des palaces parisiens comme le Ritz, le Georges V...), des studios photo ou même des ambassades. Pour cela, elle recherche des profils différents, tels que, notamment, des coiffeurs studio. Et mise sur le "capital sympathie" dont bénéficie toujours la société, selon son nouveau patron, ainsi que sur une stratégie de terrain et d'hyper-disponibilité, pour cultiver un esprit de proximité et de service à échelle humaine. Positionnée sur l'Ile-de-France, ou carrément l'international (Dubai, Jordanie, Dublin,...), ICB a revu son logo, planche sur un nouveau site internet et s'apprête à ouvrir un département "hôtesses".

lundi 22 novembre 2010

Cindarella rebâtit son site internet

Lu sur L'Eclaireur n°524:

Le fabricant français de mobilier a mis en ligne le 6 novembre dernier son nouveau site internet. Les internautes peuvent y découvrir des informations détaillées sur les produits de la gamme, avec les différentes options possibles (tissus, matériaux), des photos, et peuvent télécharger leur notice d'utilisation. Ils sont avertis que le produit est une nouveauté ou au contraire qu'il est en fin de vie, ou encore qu'il est en promotion. Le site présente aussi une sélection de "bonnes affaires" (déstockage usine...) alimentée également par le mobilier présenté dans les showrooms des distributeurs. Côté interactivité, les internautes peuvent déposer leurs annonces de vente de mobilier, et même noter par un système d'étoiles les produits proposés par la marque. Catalogue, devis et newsletter sont également accessibles par le site internet. Enfin, une partie intranet (avec code d'accès) est réservée aux clients de la marque.

Cindarella

jeudi 11 novembre 2010

CVthèque de L'Eclaireur: le recrutement... on line!

Mettre à la disposition des employeurs une vaste "banque de CV" dans laquelle ils peuvent rechercher les profils de salariés qui leur conviennent, telle est l'ambition de la CVthèque en ligne désormais disponible sur le site de L'Eclaireur. Une vraie innovation dnas la profession!



On le sait, la coiffure affronte un véritable problème de recrutement. Nombre de salons ont du mal à trouver le profil de salariés qu'ils recherchent. En sens inverse, certains collaborateurs ont des souhaits très précis et ne trouvent pas forcément "chaussure à leur pied" dans leur région. La CVthèque en ligne de L'Eclaireur a pour mission de faire se rencontrer les uns et les autres, et de fluidifier le marché du travail dans la coiffure. C'est la première "banque de CV" en ligne de la profession!

Concrètement, depuis 6 mois, les collaborateurs ont été invités à déposer leur curriculum vitae sur le site, de manière totalement gratuite. Ils remplissent un formulaire standard mais peuvent aussi envoyer un CV personnalisé, ainsi qu'une photo. Pour ceux qui souhaitent rester incognito, il est également possible d'envoyer un CV anonyme. Enfin, le document peut être mis à jour à tout moment. Aujourd'hui, ce sont pas moins de 800 CV, toutes régions, tous niveaux de qualification, tous postes confondus, qui sont disponibles sur le site du journal: pour faciliter la tâche des recruteurs, ils sont triés selon différents critères: poste recherché, région, etc. Et ce, pour un prix attractif: à partir de 160 euro pour 10 jours d'abonnement. Bien entendu, avant de souscrire à ce service, le chef d'entreprise a la possibilité de savoir combien de candidatures correspondent exactement à sa recherche. L'intérêt de cet outil? Notamment, permettre aux employeurs d'entrer en contact non seulement avec les candidats en recherche active d'emploi, mais aussi avec ceux qui sont en poste et désireux d'évoluer. Il permet aussi de surmonter l'un des principaux écueils qui empêchent l'offre et la demande de postes de se rencontrer: l'éloignement géographique. En effet, de nombreux salariés sont prêts à changer de région, voire même désirent le faire, mais n'ont tout simplement pas accès aux possibilités d'emploi éloignés de chez eux. Il s'agit donc d'un outil spécialement bien adapté à l'artisan exigeant, en quête d'un profil bien particulier. Une place à pourvoir? Envie d'élargir l'équipe? Rendez-vous sur www.leclaireurhebdo.com, espace Recruteurs!

mercredi 3 novembre 2010

Trend Vision de Wella: entre virtuoses et jeunes talents

Lu dans L'Eclaireur n°512:

Entre démonstrations de coiffeurs confirmés et concours de jeunes talents, la finale nationale du Trend Vision a fait le plein de spectateurs.

Massato

La dernière édition du Trend Vision de Wella s'est déroulée dans les locaux de l'académie de la marque, rue Cambon (Paris I°). Les coiffeurs étaient venus nombreux pour assister à cette journée, mix de démonstrations de professionnels confirmés et de concours. Comme à l'accoutumée, cette rencontre, organisée sous la forme d'une "journée portes ouvertes", a permis aux coiffeurs présents de circuler librement entre les différentes salles du centre de formation, où se produisaient Jean-Michel Fareta, Masato, François Mazeau, Christophe-Nicolas Biot, Cyrill Brune et, en ouverture, pour représenter la marque Sebastian Professional, Riadh. Chacun d'entre eux a fait sa démonstration de sa virtuosité, Massato réalisant par exemple un chapeau tout en cheveux, et Jean-Michel Fareta s'intéressant cette année aux mariées... certaines démonstrations s'organisaient comme des ateliers techniques, durant lesquels les coiffeurs prodiguaient conseils et explications. C'était le cas pour François Mazeau, qui a alerté ses confrères sur le nécessité de se renouveler sans cesse en salon, notamment dans les propositions à la cliente. En fin d'après-midi, Christophe-Nicolas Biot, ambassadeur artistique international de Wella Professionals, a enflammé la salle Opéra avec un show très mis en scène, faisant se succéder démonstrations de coupe à sec et chignons sophistiqués, ornés de plumes rouges ou violettes. L'après-midi s'est clôturé par la proclamation des résultats du concours. Et c'est Mathieu Giamarchi, du "salon Mathieu" d'Arena Vescovato, en Corse, qui a remporté l'épreuve Couleur, tandis que le dijonnais Kevin Jacotot raflait le trophée Talent avec une coupe très graphique. Deux jeunes pleins de promesses qui représenteront la France lors de la finale internationale du Trend Vision Award qui se tiendra à Paris le 6 novembre prochain.

Kevin Jacotot

vendredi 22 octobre 2010

+2,98%

Sur L'Eclaireur n•520:

+2,98% c'est la progression du service coloration enregistrée par Panel Vision/Coopéré entre janvier et juillet derniers. Un retour encourageant de la croissance, avec une accélération au fil des mois. L'activité des salons dans son ensemble est tout juste orientée à la hausse (moins de 1%) et si les soins rebondissent également, c'est avec des tarifs en retrait.

mercredi 20 octobre 2010

Schwarzkopf: Essensity à la rencontre des clients

Sur L'Eclaireur n°518:

Schwarzkopf Professional, qui vient de relancer Essensity, sa marque positionnée "nature", en profite pour faire découvrir les produits et l'univers de celle-ci d'une façon originale. Cet automne, la marque installera un espace Essensity éphémère au cœur de 5 des plus grandes villes françaises: les 12 et 13 octobre à Lyon, les 14 et 15 à Bordeaux, les 19 et 20 à Nantes, les 22 et 23 à Strasbourg, et enfin, du 6 au 8 novembre à Paris, Porte de Versailles, à l'occasion du MCB. L'idée est de proposer aux femmes un diagnostic établi par les équipes techniques du fournisseur, et par là-même une découverte des produits Essensity. Aux mêmes dates, les coiffeurs de chaque ville et de ses environs se réuniront pour une soirée festive.

mardi 19 octobre 2010

Shampooing et baume Essentiel d'Argan de Bakea Professionnel

Sur L'Eclaireur n•519:

Deux nouveautés prennent place dans les propositions de la marque Bakea Professionnel: le shampooing et le soin Essentiel d'Argan, destinés aux cheveux secs à normaux. Sans paraben, ils contiennent, outre de l'huile d'argan, des glucides hydratants. Le pH neutre du shampooing permet une utilisation quotidienne: il hydrate la fibre capillaire tout en préservant des agressions extérieures. Quant au baume, il apporte douceur et facilité de coiffage.
Distribué par Cyra Lydo.

jeudi 12 août 2010

Mizani réhabilite les cheveux frisés

Vu sur L'Eclaireur n°506:


La marque haut de gamme, Mizani, spécialiste des cheveux bouclés et afro vient de lancer une nouvelle ligne professionnelle de soin et de coiffage: True Texture. Forte d'un double constat "marché" et "tendance", elle a en effet décidé de donner aux femmes qui souhaitent garder leurs cheveux frisés "au naturel" le smoyens de le faire, tout en les aidant à redéfinir leurs boucles, à supprimer les frisottis et à gérer leur volume, selon le type de texture. De fait, sur les marchés internationaux, certaines études ont mesuré un recul des produits de défrisage (en salon ou à domicile), accompagné d'une tendance émergente en faveur des styles naturels, considérés comme plus "trendy". Développée à partir du "Curl Care Complex" qui répond aux besoins spécifiques de nutrition, réparation et lissage (huile d'abricot, céramides, huiles de jojoba, vitamine E), True Texture convient aux cheveux bouclés comme aux cheveux crépus. Côté soin, ses shampooings sans sulfates au pouvoir nettoyant doux préservent le taux lipidique de la fibre -qu'on sait peu élevé pour ce type de cheveux. Les masques, eux, nourrissent tout en respectant le volume naturel des cheveux. Enfin, côté coiffants, des formules légères ont été retenues pour les cheveux bouclés ou crantés, afin d'obtenir des boucles bien rebondies; tandis que pour les cheveux frisés ou crépus, des textures façon "beurre" permettent d'amollir la fibre et d'apporter une finition brillante. Au total, 5 références pour laver en douceur, apporter du soin et coiffer "sur mesure" en fonction du degré de frisure.

vendredi 9 juillet 2010

Des coiffeurs au camping

Vu dans l'Eclaireur:


Stephane Auger habite et travaille dans le Var, en bord de mer, région bien connue et appréciée des amateurs de farniente et de bronzage. Les terrains de camping y sont nombreux. Peu à peu, voyant les vacanciers prendre possession de leurs tentes et autre mobile-homes, il a perçu un potentiel en matière de coiffure. D'autant que, loin du cliché du campeur désargenté, certains mobile-homes se louent relativement cher. Il a donc pris l'initiative, voilà 5 ans, de créer des "salons temporaires". "Je loue un mobile-home dans 5 camping de la côte, de préférence des sites 4 ou 5 étoiles. Les services pratiqués: surtout des coupes-shampooings. Pour y travailler, je prends des jeunes sortant du BP, logés sur place. Ils ont des horaires sympas: 11 heures-13 heures et 17 heures-20 heures. A 20 ans, j'aurais adoré cela!" Stéphane Auger s'apprête à réitérer l'opération pour la 6° année consécutive, même si les récentes inondations n'ont pas épargné les campings concernés. Et, clin d'oeil à ses salons "Tête d'affiche", il a baptisé ces salons temporaires "Tête de campeur"...