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| Laurent Decreton |
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| Laetitia Guenaou |
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| Christophe Gaillet |
Les conseils en coiffure, les idées coiffure, les tendances, les plus beaux shows, les coiffeurs à travers le monde, les bonnes adresses, les meilleurs produits,... Toute la coiffure est sur "L'Essentiel en Coiffure".
dimanche 11 septembre 2011
Pendant que je suis occupé au Carrousel....
A l'heure à laquelle la Haute Coiffure Française présente sa nouvelle collection au Carrousel du Louvre, voici les plus belles images de l'évènement similaire pour Art Shape en février 2009.
samedi 10 septembre 2011
La beauté se transmet
La toulousaine, Sandrine Ruiz, partagera un peu de ses secrets à quelques privilégiés le lundi 24 octobre au Paladia hôtel de la ville rose.
Sandrine propose sa journée de formation sur la créativité "aux coiffeurs free lance ,aux make-up artistes et a tous les coiffeurs qui ont envies de s’évader du quotidien"
Sandrine propose sa journée de formation sur la créativité "aux coiffeurs free lance ,aux make-up artistes et a tous les coiffeurs qui ont envies de s’évader du quotidien"
vendredi 9 septembre 2011
Liez-moi à vous
Un grand merci à Franck de chez Ariès Création pour avoir mis en ligne, sur son site, un lien vers L'Essentiel de la Coiffure.
Prochainement, vous pourrez le retrouver, ainsi que toutes ses propositions d'extensions et perruques, aux salons Beauté Sélection de Paris et de Lyon.
Prochainement, vous pourrez le retrouver, ainsi que toutes ses propositions d'extensions et perruques, aux salons Beauté Sélection de Paris et de Lyon.
Natural 3D color effects
Wella nous propose 4 visuels avec des effets naturels de mèches faites en voile. Les tons vont du châtain foncé au blond. Ils sont accompagnés de reflets légers en doré, cendré ou même violine.
jeudi 8 septembre 2011
Un réseau pas comme les autres
Depuis le temps que je traîne mes guêtres dans le monde virtuel de la coiffure, allant d'un blog à Facebook en passant par différents sites, j'ai pu échanger avec beaucoup de personnes. Des coiffeurs, des maquilleurs, des mannequins, des photographes... qu'ils soient de France ou de tout autre pays.
Mais il y en a bien un dont la ténacité et le dévouement à la profession est impressionnant. Il veut apporter aux autres et échanger pour le bien de tous et du métier. Johnny Garcia, créateur de Bipstyl.
Depuis 3 ans que son site existe, j'ai vu les différentes évolutions. Personnellement, je n'aimais pas la première version de Bipstyl. Trop basique, pas assez d'outils, présentation moyenne. Johnny et moi en avons longuement parlé. Et à plusieurs reprises. J'ai pu lui donné mon point de vue extérieur. Je n'ai rien caché de ce que je pensais et lui-même était parfaitement à l'écoute afin d'en tirer des améliorations.
Au fil du temps, Johnny a donc apporté des modifications autant à la présentation de Bipstyl qu'à son contenu et à ses outils.
Depuis, d'autres réseaux (Artizup, Nous Les Coiffeurs,...) ainsi que des annuaires spécialisés (Je Suis Coiffeur, Tous Les Coiffeurs, Meilleur Coiffeur...) ont pu se développer bien plus rapidement que Bipstyl. Mais pour financer son site, Johnny est simplement coiffeur à domicile. Il n'a pas une grosse entreprise qui génère des fonds, alors il avance doucement. A son rythme.
Récemment, Johnny et moi avons eu une nouvelle longue discussion. Bien sûr, avec ses propres moyens, Johnny avance moins vite que les autres réseaux, mais, à chaque conversation, je suis épaté par sa volonté et sa ténacité. Il fourmille d'idées plus riches les unes que les autres et a toujours envie d'aider ceux qui viennent vers lui. Il imagine un réseau social dans lequel chacun aide tous les autres à tout moment.
Le réseau Bipstyl est un peu comme une communauté hippie version coiffure virtuelle.
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| Johnny Garcia |
Depuis 3 ans que son site existe, j'ai vu les différentes évolutions. Personnellement, je n'aimais pas la première version de Bipstyl. Trop basique, pas assez d'outils, présentation moyenne. Johnny et moi en avons longuement parlé. Et à plusieurs reprises. J'ai pu lui donné mon point de vue extérieur. Je n'ai rien caché de ce que je pensais et lui-même était parfaitement à l'écoute afin d'en tirer des améliorations.
Au fil du temps, Johnny a donc apporté des modifications autant à la présentation de Bipstyl qu'à son contenu et à ses outils.
Depuis, d'autres réseaux (Artizup, Nous Les Coiffeurs,...) ainsi que des annuaires spécialisés (Je Suis Coiffeur, Tous Les Coiffeurs, Meilleur Coiffeur...) ont pu se développer bien plus rapidement que Bipstyl. Mais pour financer son site, Johnny est simplement coiffeur à domicile. Il n'a pas une grosse entreprise qui génère des fonds, alors il avance doucement. A son rythme.
Récemment, Johnny et moi avons eu une nouvelle longue discussion. Bien sûr, avec ses propres moyens, Johnny avance moins vite que les autres réseaux, mais, à chaque conversation, je suis épaté par sa volonté et sa ténacité. Il fourmille d'idées plus riches les unes que les autres et a toujours envie d'aider ceux qui viennent vers lui. Il imagine un réseau social dans lequel chacun aide tous les autres à tout moment.
Le réseau Bipstyl est un peu comme une communauté hippie version coiffure virtuelle.
à suivre aussi: https://www.facebook.com/note.php?note_id=136452113078584
mardi 6 septembre 2011
Direction rentrée
Le parasol est rangé. Les photos sont triées. On ressort les cartables pour la rentrée. La presse pro fait aussi sa rentrée et certains évènements qui se sont déroulés en été, y sont unanimement présents. Comme les Get Inspired Days de Redken les 3 et 4 juillet à Paris.
Sur ces deux journées, les coiffeurs clients de la marque américaine ont pu assister au show du maître de la marque: Sam Villa (directeur artistique Redken depuis 16 ans).
Ce dernier a fasciné son auditoire par sa présence et son charisme exceptionnels. Il traque le moindre détail, note Échos Coiffure.
Pour Coiffure de Paris, en grand pédagogue, il a martelé qu'en coiffure pour obtenir un résultat différent, il faut commencer par changer soi-même ses habitudes.
L’Éclaireur qualifie Sam Villa de bouillant et surprenant. Il a su passer d'une inspiration classique sensuelle au délire de mise en scène le plus extrême ... ne perdant jamais de vue l'élégance.
Sur ces deux journées, les coiffeurs clients de la marque américaine ont pu assister au show du maître de la marque: Sam Villa (directeur artistique Redken depuis 16 ans).
Ce dernier a fasciné son auditoire par sa présence et son charisme exceptionnels. Il traque le moindre détail, note Échos Coiffure.
Pour Coiffure de Paris, en grand pédagogue, il a martelé qu'en coiffure pour obtenir un résultat différent, il faut commencer par changer soi-même ses habitudes.
L’Éclaireur qualifie Sam Villa de bouillant et surprenant. Il a su passer d'une inspiration classique sensuelle au délire de mise en scène le plus extrême ... ne perdant jamais de vue l'élégance.
dimanche 4 septembre 2011
Summer Illusion par Vania Laporte
Ce n'est pas sa dernière collection: Summer Illusion est sortie au printemps dernier. Mais j'aime beaucoup de travail de Vania Laporte, ambassadrice pour L'Oréal professionnel à Bordeaux.
Parlons peu, parlons bien
"Ce n'est pas ce que je voulais"
Nous avons tous entendu cette phrase en salon de coiffure. Trop souvent.
Mais à ce moment, il est trop tard: la confiance de notre client est perdue.
Alors comment faire pour éviter ce malentendu? Comment être sûr de ne jamais se tromper?
Evidemment, la technique, le savoir-faire, l'expérience sont inévitables pour satisfaire la clientèle, mais la base est dans le dialogue, la bonne compréhension.
Ce n'est pas toujours facile. Beaucoup de personnes n'utilisent pas le même vocabulaire pour désigner une chose ou une autre. Là est toute la difficulté. Il est alors ultra nécessaire, en tant que coiffeur, de ne pas rester bloqué sur certains mots. Il faut parvenir à "traduire" les mots, parfois mal choisis, de nos clients.
Nous avons tous connu quelqu'un qui parle d'un châtain pour un blond foncé ou d'un effilé pour un dégradé.
La reformulation est la clef. Pendant le dialogue, lorsqu'une personne demande un effilé, il faut bien clarifier son souhait: que la chevelure soit plus légère? avoir moins d'épaisseur? ôter des marques de ciseaux? faire ressortir les pointes vers l'extérieur? casser l'effet carré de la coupe?
Rappelons-nous surtout d'une chose primordiale: nos clients n'ont pas fait d'études de coiffure ni de stage de coupe ou de couleur.
Nous avons tous entendu cette phrase en salon de coiffure. Trop souvent.
Mais à ce moment, il est trop tard: la confiance de notre client est perdue.
Alors comment faire pour éviter ce malentendu? Comment être sûr de ne jamais se tromper?
Evidemment, la technique, le savoir-faire, l'expérience sont inévitables pour satisfaire la clientèle, mais la base est dans le dialogue, la bonne compréhension.
Ce n'est pas toujours facile. Beaucoup de personnes n'utilisent pas le même vocabulaire pour désigner une chose ou une autre. Là est toute la difficulté. Il est alors ultra nécessaire, en tant que coiffeur, de ne pas rester bloqué sur certains mots. Il faut parvenir à "traduire" les mots, parfois mal choisis, de nos clients.
Nous avons tous connu quelqu'un qui parle d'un châtain pour un blond foncé ou d'un effilé pour un dégradé.
La reformulation est la clef. Pendant le dialogue, lorsqu'une personne demande un effilé, il faut bien clarifier son souhait: que la chevelure soit plus légère? avoir moins d'épaisseur? ôter des marques de ciseaux? faire ressortir les pointes vers l'extérieur? casser l'effet carré de la coupe?
Rappelons-nous surtout d'une chose primordiale: nos clients n'ont pas fait d'études de coiffure ni de stage de coupe ou de couleur.
samedi 3 septembre 2011
Beauté originelle
Denis Holbecq est coiffeur-ambassadeur pour L'Oréal professionnel depuis de nombreuses années et intègre en 2011 la prestigieuse équipe de la Haute Coiffure Française.
Pour la saison automne/hiver 2011/2012, le coiffeur nantais propose trois visuels de la Beauté Originelle:
Pour la saison automne/hiver 2011/2012, le coiffeur nantais propose trois visuels de la Beauté Originelle:
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crédits:
Coiffure: Denis Holbecq
Photo Arnaud Baraer
Maquillage: Stéphane Dussart
vendredi 2 septembre 2011
De Caracas à Merida
En août, je suis allé visiter le Vénézuela. Après un bref passage à Caracas, j'ai surtout profité de Mérida pendant quelques jours.
Entre un séjour à Los Llanos entouré d’innombrables oiseaux et de caïmans, et un vol en parapente, j'ai aussi cherché les salons de coiffure. Et il n'y a pas de quoi fantasmer. Je n'ai rien vu d'extraordinaire dans la décoration ou l'agencement. Quoique.... d'un certain côté, j'en ai vu des fantastiques. Avec ce salon dont les murs sont tapissés de motifs zébrés. Ou celui qui n'a pas de vitrine mais une porte par laquelle il faut passer de profil tellement elle est étroite.
En observant aussi les vénézueliens, rien ne m'a bouleversé. Au niveau coiffure, le pays ressemble beaucoup à ce que nous avions début 90'. J'ai vu des dégradés plein de marques de ciseaux, des mèches qui ressemblent à des rayures blanches.
Il y en avait quand même un! J'ai rencontré un styliste qui crée des vêtements et des accessoires pour Volatile (vous les trouverez sur un site et sur Facebook). Ce garçon porte une coiffure contemporaine sans être excentrique pour autant. Il habite le nord du pays, proche de la mer des Caraïbes. Pour le lui avoir demandé, il me disait que seul 2 ou 3 salons de coiffure lui semblent convenables dans sa région.
Comme beaucoup de pays d’Amérique latine, le Vénézuela n'est pas au top de sa forme au niveau économique. Je ne peux que souhaiter à tous les vénézueliens que les choses changent pour eux. Qu'ils aient plus de moyens et de facilités dans leur vie au quotidien. Puis qu'ils en profitent pour s'actualiser côté mode et coiffure.
Entre un séjour à Los Llanos entouré d’innombrables oiseaux et de caïmans, et un vol en parapente, j'ai aussi cherché les salons de coiffure. Et il n'y a pas de quoi fantasmer. Je n'ai rien vu d'extraordinaire dans la décoration ou l'agencement. Quoique.... d'un certain côté, j'en ai vu des fantastiques. Avec ce salon dont les murs sont tapissés de motifs zébrés. Ou celui qui n'a pas de vitrine mais une porte par laquelle il faut passer de profil tellement elle est étroite.
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| photo: Laurent Micas |
En observant aussi les vénézueliens, rien ne m'a bouleversé. Au niveau coiffure, le pays ressemble beaucoup à ce que nous avions début 90'. J'ai vu des dégradés plein de marques de ciseaux, des mèches qui ressemblent à des rayures blanches.
Il y en avait quand même un! J'ai rencontré un styliste qui crée des vêtements et des accessoires pour Volatile (vous les trouverez sur un site et sur Facebook). Ce garçon porte une coiffure contemporaine sans être excentrique pour autant. Il habite le nord du pays, proche de la mer des Caraïbes. Pour le lui avoir demandé, il me disait que seul 2 ou 3 salons de coiffure lui semblent convenables dans sa région.
Comme beaucoup de pays d’Amérique latine, le Vénézuela n'est pas au top de sa forme au niveau économique. Je ne peux que souhaiter à tous les vénézueliens que les choses changent pour eux. Qu'ils aient plus de moyens et de facilités dans leur vie au quotidien. Puis qu'ils en profitent pour s'actualiser côté mode et coiffure.
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| photo: Carlos Molina |
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